Словени у југословенском Подунављу

Милица и Ђорђе Јанковић

 

LES SLAVES DU BASSIN DANUBIEN YOUGOSLAVE

 

 

Les recherches archéologiques de la dernière dizaine d'années découvrent de plus en plus de localités slaves du Ve au XIIIe siècle. En règle générale, ce n'étaient que des déterrements de protection. Ces découvertes confirment l'importance du Danube pour le passé slave, signalée dans la chronique de Nestor. Le but de l'exposition est de monter les résultats de recherches et de leurs donner une nouvelle interprétation et datation.

 

 

LES SLAVES DU SUD

 

Les Slaves du Sud devant les frontières romaines

 

Dans les sources romaines, les Slaves du bassin danubien ne sont mentionnés qu'exceptionnellement, étadt donné qu'ils n'avaient pas été en conflit avec l'Empire. D'après les données d'Amien Marcellin, de, Pseudo-Césarien, l'orateur Priscus, on peut supposer qu'ils se sont installer dans ces régions au IVe siècle au plus tard. A cette couche archéologique, du commencement du moyen âge, appartiennent la plus grande parties du découvertes fortuites de la région de Pančevo (84 [*]). Leurs ancienneté est témoignée par les fragments de poterie, provenant d'une agglomération provisoire près de Višegrad. Ils datent de l'époque de la dévastation de Huns (78). Le site slave le plus ancien du bassin danubien, appartient à la fin du Ve siècle le commencement du VIe. C'était une agglomération de courte durée, avec des habitations entérrées et celles d'au-dessus de la terre, fortifiée par un mur en bois (110). Des agglomérations semblables existaient aussi dans d'autres endroits à Bačka (57, 103).

 

Les données importantes pour la chronologie, les événements historiques eit les relations entre les Slaves et la Byzance nous fournissent les fouilles d'une maison semi-enterrée près d'Apatin et des habitations semblables près de Vinča (1, 28/1—7). On y a trouvé aussi de la vaisselle de cuisine, simple, confectionnée sans tour, ainsi que de la vaisselle de table produite sur le tour et décorée par polissement. Ici, il faut rajouter de la céramique byzantine.

 

 

*. Les numéros indiquent la localité dans le catalogue.

 

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Les circonstances historiques et la céramique byzantine témoignent qu'Apatin date du milieu du VIe siècle, c'est-à-dire, avant l'arrivée des Avares en 566 et le site d'habitation près de Vinča est postérieur. L'instalation des Avares a forcé les Slaves de quitter ces régions qui étaient accessibles aux Nomades et de s'installer dans les régions byzantines et autres.

 

Les Slaves et la Byzance

 

Au cours du VIe siècle les Slaves étaient engagés au service militaire byzantin et vivient dans les fortifications byzantines. Ils y fondèrent des sites d'habitations cemme celui de Vinča, et ailleurs aussi, un peu plus tard (26, 101). On les reconnaissaient difficilement dans les fortifications byzantines, parce qu'ils y avaient adopté la culture byzantine, et habitaient dans les maisons aux murs de pierre (39/1—3). On les a découvert grâce aux rares morceaux de céramiques et des fibules du dernier quart du VIe siècle (43/1, 92/1, 105/12).

 

La conquête de la Péninsule Balkanique

 

Après des expéditions de saccage, les Slaves commencèrent à occuper de force la Péninsula Balkanique. Après une première vague de colonisation, suscitée par l'arrivée des Avares, aura lieu une autre, envahissante, qui fut la plus forte vers les année quatrevingts. Ensuite, au commencement du règne de l'empéreur Héraclius, s'ensuit une guerre pour la conquête des dernières bases byzantines des Balkans. Mais, malgré cette guerre, l'Empire a réssui en quelques sorte à rester présent dans le bassin du Danube et sur la route Beograd—Niš—Constantinople (92/2, 61/1—2, 108/1).

 

La société et la culture des Slaves jusqu'au VIIIe siècle

 

Les Slaves du sud se distinguent des autres peuples Slaves par la culture matérielle au cours de la deuxième moitié du Ve siècle. Jordanès nous apprend que, vers le milieu du VIe siècle les Slaves occupent l'espace entre Blato à l'embouchure de Drava et l'embouchure du Dnjepr et Dnjestr. Les maisons ayant un four en pièrre dans un coin sont le mieu étudiées. Ils utilisent aussi des fours en terre, enfoncés dans le mur, ou d'autres fours. Cinq familles environ constituaient une agglomération. Les agglomérations se trouvant sur le bord du Danube avaient une fonction militaire (26, 27). C'est à peu près tout ce qu'on peut dire sur l'organisation de tribus. Durant leur colonisation les Slaves importaient le fer de la Byzance, ce qui fait qu'il n'y avait presque pas de différence parmi les objets. Pour le coulage de bijoux et d'objets semblables, on a utilisé au VIe siècle, les moules avec le modèle de l'objet sur un côté seulement (29/16). En outre de la poterie travaillée sans tour et l'emploi plus rare de divers produits de céramique de bonne qualité, on utilise également des récipiants ornés de péigne. Ils ont été travaillé au trour à petite vitesse, actionné à la main, et qui est entré en usage vers la fin du VIe siècle. L'orfevrerie et la poterie n'étaient que quelqus-uns des métiers professés par les Slaves au temps de la Colonisation.

 

Une des caractéristiques des Slaves du Sud était l'inhumation de défunts après la crémation, dans les champs, avec ou sans urnes. On trouve ces

 

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cimétière entre le VIe et le VIIIe siècle (84?, 111, 42, 81). En plus de certaines fibules, la présence d'autres Slaves est témoignée par les timulus de Veliko Ostrvo. On n'a pas encore bien éclaircie les liaisons entre le bassin danubien et les tombes sans défunts, près de Pljevlja (70). Il s'agit de cimetière des Serbes, des Slaves de l'ouest, où les défunts étaient exposés au-dessus de la tombe. Cette même couteme se retrouve chez les Slaves de l'est. Les Slaves du sud ont commencé à inhumer les morts, assez tôt, probablement au cours du VIe siècle. Cela pourrait coincider avec l'apparition du christianisme. Les tombes à squelettes avec la parure slavec ou la poterie du VIIe siècle existaient des deux côtés du Danube (8, 61, 56). Les petites croix trouvées dans ces tombes confirment le christianisme.

 

 

LES SLAVES SUR LES DANUBE

 

L'arrivée des Bulgare et la dépopulation des Slaves

 

L'arrivée de Bulgare dans le Bas-Danube et le Danube Central vers l'an 680, provoqua de grands troubles. Les Slaves abandotnèrent leurs demeures du Bas Danube. Une partie d'habitants de la Pannonie a émigré vers le sud avec Kuver. Toute l'Europe du sud-est supporta de grands troubles ethniques, témoignés par un grand nombre de dépôts, à travers les Balkans, le bassin danubien, jusqu'à la Slovaquie et la Russie. Beaucoup d'agglomérations de la Serbie de l'est et la vallée de la Morava s'est éteint (26, 76, 100, 101), et l'inhumation dans les cimetières fut abandonnée (8, 89). Les habitants de Timok résistèrent aux Bulgares (76), mais ils ont été aussi obligés à émiger à l'ouest (45). Ills s'installèrent probablement dans une vaste- région près de Belgrade (17). Certaines Slaves sont partis au nord-ouest, en Transylvanie, et d'autres au sud-ouest, vers Skopje. Au VIIIe et au IXe siècle, dans la région de la montagne de Fruška gora, on retrouve une poterie ornée de bandes horizontales. Durant le VIIIe siècle, dans la Bas Danube renaît une population Slave, avec certaines influences bulgares (101/18).

 

Les Bulgares et les Slaves

 

La puissance d'Avares, renouvelée vers la fin du milieu du VIIIe siècle, fut brisée lors des expéditions de pillage des Francs. Une partie d'Avares se retira vers le sud, d où ils ménacèrent les Slaves. Les Bulgares en profitèrent et, alliés avec les Slaves, ils poussèrent frontières jusqu'à la Slavonie et la rivière Drava, et au mord jusqu'à la Slovaquie d'aujourd'hui. Les Slaves formèrent les nouvelles agglomérations dans les régions occupées (109, 89, 29). La plus intéressante est celle de Bačka, dans laquelle on a retrouvé, dans une maison semi-enterrée, la poterie slave avec des graphismes bulgares et des fragments de vases ornés par le polissage (109/9). Avec le temps, dans le bassin de la Pannonie se développa une culture caractérisée par des cimetières à inhumation, avec de rares tombes de chevaliers, dont la structure ethnique n'est pas unitaire. Les défunts ont été inhumés dans leurs habillements, les hommes avec le ceinturon, les femmes avec les bijoux et les aliments (30, 52, 111). Cette culture a duré jusqu'à l'arrivée des Hongrois. En même temps, sur la rive droite de la Sava et du Danube, on n'a retrouvé que quelques tombes avec la poterie et les aliments (28, 49).

 

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Velika Morava

 

La principauté de Velika Morava, de plus en plus forte, a réussi vers la fin du IXe siècle à s'etendre sur la Slavonie et même sur certaines parties de la Vojvodina. Bien que Velika Morava fut un pays chretien, l'empéreur Constantin Porphyrogénète a noté que la Slavonie avait été la partie non-baptisée de la Velika Morava. (22). Les Hongrois qui s'y installèrent avaient détruit la Veika Morava, et une foule d'émigrants se dispersa partout. Beaucoup d'entre eux descendirent dans le sud. Leur existence nous est témoignée par les découvertes de bijoux et d'armes, utilisés dans l'Etat de Velika Morava (11, 28, 95, 96, 97).

 

Le débâcle de la Bulgarie

 

La Bulgarie s'était slavisée successivement. Sa nature nomade est restée dans les steppes de la Pannonie et à l'embouchure du Danube. L'empereur Siméon se tourna vers la conquête de la Byzance et c'est la raison pour laquelle les régions de l'autre côté du Danube obtinrent une plus grande autonomie, surtout après l'apparition des Hongrois et des Pétchénègues. La frontière sur le Danube, vers la Hongrie, était fortifiée, et pendant la vie de Siméon le Danube était défendu (92, 101), mais plus tard les Hongrois pillèrent ce limes (101). Il semble que dans le bassin de Velika Morava et au Banat, des principautés indépendantes se sont formées. La Bulgarie ainsi affaiblie, réduite à la région de Bas Danube, était devenue une proie facile, d'abord pour les Russes et ensuite pour la Byzance, qui l'annexa en 971.

 

A l'est de l'ancienne Bulgarie se forma une alliance, guidée par les Brsjaci, avec l'empéreur Samuel çomme chef. Cet Etat fut détruitt au cours de guerres violentes au commencement du XIe siècle. Il n'est pas tout à fait clair, quelle était l'attitude de Velika Morava, Banat et Srem, dans ces événements.

 

Les Slaves s'étaient révoltés contre les autorités byzantines, mais sans succès. Après l'insurrection de l'an 1072, Byzance a entrepris la dépopulation d'habitants de la vallée de Danube, et par ce fait, beaucoup de villes restèrent désertes (39, 43, 63).

 

La société et la culture slaves du VIIIe au XIe siècle

 

En tant que centres d'administration et de l'économie, les villes sont les témoins du développement d'un Etat. A la différence des autres régions slaves, où les villes avaient des remparts en terre et en bois, dans les limites de l'ancien Empire romain et byzantin, les ancienne villes ont été réstaurées par des remparts en pierre, en brique et en mortier. On n'a pas encore examiné les constructions civiles qui avaient été entreprises dans ces remparts durant le moyen âge. Mais, l'existance d'une couche archéologique slave a étéoonstaté. Les forteresses les plus anciennes sont Belgrade et Sirmium. L'apparition de Hongrois, nouveau danger extérieur a conditionné la fondation de nouvelles agglomérations fortifiées, ainsi que la restauration de forteresses. On y a reconstruit les remparts; nouvelles toures sont elevées en pierre, liée avec mortier et la chaux (101). Ce réseau de forteresses s'est encore élargi sous Byzance. Les Slaves peuplèrent les villes nouvelles, avec d'autres population, comme Pétchénègues avant tout (39).

 

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L'agriculture et le service militaire ont été les branches économiques principales, aussi bien dans les villes que dans les villages. Durant le IXe et le Xe siècle, chaque village de l'importance considérable, disposait de différents ateliers: ateliers métallurgiques, des fours pour fondre le métal, etc (29/53, 76/20—21).

 

En pricipe, la poterie est considérée comme activité artisanale depuis le VIIIe siècle. À part les cloches en terre pervant pour la cuisson du pain, il n'y avaient pas d'autre activités artisanales. On n'utilise que la poterie ornée de péigne, et de poincon au IXe siècle. En Pannonie s'est développée au IXe siècle la production de la vaisselle de table, travaillée au tour à un seul manche. Dans les régions nord-ouest du bassin pannonien, on utilise les cruches sans manches, et dans la partie basse du Danube, les cruches avec deux manches. Elles sont habituellement ornées pair lignes incisées. Différents types de poterie ont été décuvert jusqu' à XIe siècle: pots, tasses, verres, écueiles. On rencontre également la poterie importée, qui a été peinte et émaillée.

 

La production de la parure se développe sous l'influence byzantine. Au début, les Slaves imitent les boucles d'oreille en forme d'étoile, coulés dans des moules à un modèle (79), et à partir du IXe siècle, on passe aux techniques plus compliquées, à la miaule à deux modèles. La fabrication de bijoux par le coulage s'est maintenu jusqu'au XIe siècle. Au IXe siècle, les bijoux sont fabriqués en tôle avec filigrane et granulation (18, 101/75). Au IXe et Xe siècle la parure devient riche et diversifiée. Elle est faite en étain, bronze, argent, et en or. On utilise même des boucles d'oreille à pendatifs en verra La parure en fil de fer ordinaire a été porté souvent.

 

Les coliers en pâte de verre sont aussi rencontrés souvent. En ce qui concerne les bagues, elles étaient d'abord en forme de ruban et ensuite avec une tête circulaire représentants des ornements divers. Au cours du X—XIe siècle les bagues avaient une tête en forme du cône, ornée de filigrane et de granulation. Les bagues plus modestes étaient coulées en bronze, avec la tête en forme du cône ou de la pyramide. Dans le sud de la Serbie, on rencontre souvent les bagues en forme du ruban avec une tête élargie en forme de rhombe. A cette même époque, les anneaux métalliques sont répandus en Pannonie, qui sont remplacés plus tard par les boutons pérforés.

 

Pour ce qui est la parure masculine, en Pannonie est habituellement porte le connturon, orné par des parties métalliques. Chez les Avars, il y avait la parure représentant le griffon ou la foliacée. Les motifs végétaux sont présentes différement au cours du IXe siècle; d'abord, tout à fait uni et ensuite en relief; dans la deuxième moitié du IXe siècle on rencontre souvent un ornement végétal, fait par l'incision et l'empreinte (81, 30, 52, 111). Lors dé l'invasion hongroise, la grande partie d'artisanats a été détruit en Pannonie. Plus tard, cette coûtume d'enterrer les morts avec le ceinturon a disparu, ce qui fait que cet ornement est moins connu. Les crochets en forme de lyre sont caractéristiques pour le X—XIe siècle. Les montures sont en forme du coeur (64/20—25).

 

Ce qui est caractéristique pour le cristianisme c'est que d'abord on a abandonné la crémation de défunts et ensuite, la mise d'aliments et d'armes dans les tombes. Les cimetières connus au Xe siècle sont tout à fait chrétins, bien qu'il y ait certaines apparitions, surtout en Pannonie, de la mise en tomeau des aliments ou d'armes. On n'a pas encore découvert les églises du IXe siècle. Les plus anciennes sont celles du Xe à Mitrovica et à Veliki Gradac; leur nombre s'est considérablement agrandi à l'époque du Samuel et l'expansion de la Byzance jusqu'au Danube (11/1, 6—7).

 

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La culture de Bijelo Brdo

 

L'arrivée des Hongrois dans le bassin Pannonien en 896, a provoqué de grandes perturbations. Les Hongrois se sont installés dans les régions de steppes, qu'on rencontre surtout à Bačka. Pendant leur domination en Vojvodina, les applications faites le plus souvent en tôle argentée ont été très caractéristiques (55). Etant donné qu'en 955, les Hongrois ont subi la défaite, la vie nomade et le pillage ont été abandonné, ce qui a fait que la situation s'est calmée. La population et la culture slaves se renouvèlent en Pannonie et dans le sud-ouest de la Pannonie la culture de Bijelo Brdo est crée. Elle est caractérisée par les montures de femmes, en bronze- les bracelets ornés par les têtes d'oiseaux, les bagues, bracelets et colliers en fil entrelacé, et les boucles très caractéristiques à extrémité en »S«, apparut même avant sur le même espace de La Pannonie. Dans la deuxième phase, à partir du XIe siècle, il ne reste de Cette culture que les anneaux en »S«. Dans les cimitières précédants on déposait avec les morts les récipiants (69). A cette époque là l'ethnologie nomade se distingue par les flèches, les armes, les harnais, figurant dans les tombeaux avec les défunts (6). La culture de, Bijelo Brdo se caractérise aussi par la poterie confectionnée au tour lent, actionné à la main, ornée par l'incision de lignes ondulées sur l'épaule.

 

 

LES SLAVES SOUS LA BYZANCE ET LA HONGRIE

 

L'époque de Comnènes

 

Au cours du XIe siècle la Byzance a dû se résigner avec l'expansion successive de la Hongrie au profit de Slaves et de leurs terres — les Hongrois avaient occupé Banat, ensuite, la Slavonie et Srem. Ils ont attaqué, après cela, les villes du bassin danubien et l'intérieur de la Byzance. Les Comnènes ont entrepris le renouvellement et la fortification de la Byzance, en reconstruisant Braničevo, Beograd et autres forteresses plus petites. Les guerres sont arrivées ensuite. Pendant ces guerres la Byzance a réussi à reprendre Srem et autres régions. L'époque de la dynastie de Comnènes est une époque de villes, et d'une forte présentation de la culture byzantin. Cela se refléta à travers les nouvelles églises, connues pour leurs découvertes fortuites de la plastique, par des cimetières pauvres en bijoux, par des découvertes de croix-reliquaires ; on importe la poterie de bonne qualité et autre marchandise précieuse, comme bouteilles et les bracelets en verre; les maisons deviennet plus grandes et sont construites au-dessus de la terre.

 

L'archéologie du bassin pannonien

 

Dans le bassin pannonien la culture de Bijelo Brdo s'est réduite a des annueaux a extrémité en »S«, qui ont ete porté jusqu'à l'invasion des Mongoles. La préoccupation des Slaves était la poterie, ce qui a été constaté par l'utilisation du tour lent et de l'ancien type d'ornements. Mais, les nouveaux habitants introduisent les nouvelles formes et ornements (13/1). Les lignes ondulées figurent souvent sur la poterie en Slavonie, Srem et Bačka (13/2, 17). Les habitants de Bačka ont introduit l'otnement de la poterie a l'aide de la roulette (7). Beograd, une partie de Srem et Banat utilisent la poterie ornée de la façon ancienne, par les enfoncements ou les lignes ondulées au dessus de lignes horizontales (10, 51, 83, 33). Les Slaves produisent

 

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aussi les chaudrons (34, 51). Les Hongrois construisent les villes nouvelles et des forteresses sur le Danube. En régie générale leur forme de base est quadrandulaire et les remprts sont en terre et en bois. Les églises, et les montasteres qui ont repoussé l'influence culturelle byzantine, jouent un rôle principale dans les villes.

 

La rive droite du Danube devant l'invasion de Mongoles

 

La faillite de la Byzance est advenu après la mort de l'empereur Manuel Ier. Les Hongrois ont détruit les villes du bassin danubien, et un nouveau empire Bulgare est crée avec Coumanes et les Morlaques. La faillite définitive de la Byzance est arrivés après la chute du Constantinople. Une nouvelle culture est crée sur le coté droit du Danube. Elle est caractérisée par de gros bijoux, du gout du Coumanes, ce qui prouve une plus grande puissance d'achats des habitants. Ils sont découverts dans les cimetieres de villages le long de la rive du Danube (28, 62, 93). Pour ce qui est la poteire de villes, comme Braničevo, le style byzantin a prédominé avec peu d'ornements (65). L'importation de la marchandise du luxe a été stoppé, a cause de la faillite de la Byzance.

 

L'ancienne culture Slave du bassin danubien s'est etéinte avec l'invasion de Mongoles en 1242. Les Mongoles ont complètement détruit l'économie de la Pannonie et du bassin danubien. Dans la rénovation qui a suit, se sont les étrangers qui ont repris la production artisanale. Avec sa propre production, la Hongrie s'est intruduit dans le développement de l'Europe centrale et celle de Ouest. En Bulgarie, la production se développe sur les bases anciennes avec une forte influency byzantine. L'expansion de la Serbie vient de sud-ouest avec une production slave traditionnelle.

 

 

CONCLUSION

 

L'archéologie slave du bassin danubien yougoslave se distingué d'après les invasiones de Nomades. A partir des Huns, les nomades se sont succédés, surtout a Bačka. Etant donné que les Slaves ont subi certains influence des Nomades et d'autres cultures, certaines caractéristiques ont été guardé continuellement. Ce sont: l'agricultures, les maisons semi-enterrées, la poterie faite aou four lent et ornée par l'incision. Cela met en évidence l'authénticité de peuples Slaves qui vivaient sur le Danube.

 

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